Attention ! Un logiciel malveillant iOS révolutionnaire vole des visages ! Découvrez comment il contourne la biométrie grâce à des échanges AI inquiétants !

Nouvelle menace : un logiciel malveillant iOS vole des visages pour contourner la biométrie avec des échanges AI

Un groupe de hackers chinois a développé un nouveau logiciel malveillant appelé « GoldPickaxe » qui représente une menace pour les utilisateurs d’appareils mobiles iOS. Ce logiciel utilise des échanges d’intelligence artificielle pour contourner les mesures de sécurité biométrique et voler des visages, des identifiants personnels et des numéros de téléphone. Les cybercriminels peuvent ensuite utiliser ces informations pour accéder aux comptes bancaires des victimes.

Une attaque sophistiquée

Les chercheurs de Group-IB ont identifié au moins une victime de cette attaque, un citoyen vietnamien qui a perdu environ 40 000 dollars suite à cette tromperie. Ce qui rend cette attaque particulièrement sophistiquée, c’est l’utilisation de deepfakes, des vidéos manipulées qui trompent les systèmes de sécurité biométrique des banques d’Asie du Sud-Est. Le logiciel malveillant se fait passer pour une application gouvernementale et cible principalement les personnes âgées. Les victimes sont incitées à scanner leur visage, ce qui permet aux hackers de générer des deepfakes à partir de ces scans.

Le défi de l’authentification biométrique

Cette attaque met en évidence le fait que les technologies de deepfake ont atteint un niveau avancé et sont capables de contourner les mécanismes d’authentification biométrique. Les criminels exploitent cette faiblesse et profitent du fait que la plupart des utilisateurs ne sont pas conscients de cette menace. Selon Andrew Newell, directeur scientifique chez iProov, les deepfakes sont un outil de choix pour les hackers car ils leur confèrent un pouvoir et un contrôle incroyables.

Comment les hackers contournent les banques thaïlandaises

La Banque de Thaïlande a mis en place une politique de reconnaissance faciale pour lutter contre la fraude financière. Cependant, le logiciel malveillant GoldPickaxe a rapidement contourné cette mesure de sécurité. Trois mois seulement après la mise en place de cette politique, ce malware est apparu sous la forme d’une application appelée « Digital Pension » utilisée par les personnes âgées pour recevoir leur pension en format numérique. Les victimes sont incitées à scanner leur visage, télécharger leur carte d’identité gouvernementale et soumettre leur numéro de téléphone. Contrairement à d’autres malwares bancaires, GoldPickaxe ne fonctionne pas en superposition d’une véritable application financière, mais collecte toutes les informations nécessaires pour contourner les vérifications d’authentification et se connecter manuellement aux comptes bancaires des victimes.

Lutter contre les trojans bancaires biométriques

Ces attaques soulignent la nécessité pour l’industrie bancaire de faire face aux menaces croissantes en mettant en place des mesures de sécurité plus avancées adaptées aux nouveaux défis technologiques. Il est recommandé aux banques de mettre en place une surveillance sophistiquée des sessions des utilisateurs et aux clients d’adopter de bonnes pratiques de sécurité, notamment en évitant de cliquer sur des liens suspects, en vérifiant l’authenticité des communications bancaires et en contactant rapidement leur banque en cas de suspicion de fraude.

Découvrez dès maintenant le Dark Web débridé : plongez dans l’incroyable univers des hackers et de l’IA !

L’univers passionnant des hackers et l’intelligence artificielle débridée sur le Dark Web

Les hackers exploitent de plus en plus la puissance de l’Intelligence Artificielle (IA) générative pour mener leurs activités criminelles. Une enquête menée par Kaspersky sur le Dark Web révèle que l’utilisation de l’IA, en particulier des outils d’IA générative, est devenue courante et préoccupante.

Des milliers de discussions sur l’utilisation de l’IA à des fins illégales

Kaspersky Digital Footprint Intelligence, une société russe spécialisée en cybersécurité, a analysé le Dark Web afin d’identifier les discussions sur l’utilisation de l’IA par les hackers. Les chercheurs ont découvert des milliers de conversations portant sur l’utilisation illégale et malveillante de l’IA.

En 2023, pas moins de 3 000 discussions ont été recensées, avec un pic au mois de mars. Bien que ces discussions aient tendance à diminuer au fil de l’année, elles restent actives sur le Dark Web.

L’IA au service des cybercriminels

Ces discussions se focalisent principalement sur le développement de logiciels malveillants et l’utilisation illégale de modèles de langage. Les hackers explorent des pistes telles que le traitement de données volées, l’analyse de fichiers provenant d’appareils infectés, et bien d’autres.

Ces échanges démontrent l’intérêt croissant des hackers pour l’IA et leur volonté d’exploiter ses possibilités techniques afin de mener des activités criminelles de manière plus efficace.

La vente de comptes ChatGPT volés et de jailbreaks sur le Dark Web

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En plus des discussions sur l’utilisation de l’IA, le Dark Web est également un marché florissant pour la vente de comptes ChatGPT volés. Kaspersky a identifié plus de 3 000 annonces proposant des comptes ChatGPT payants.

Les hackers offrent également des services d’enregistrement automatique pour créer massivement des comptes sur demande. Ces services sont distribués sur des canaux sécurisés comme Telegram.

Par ailleurs, les chercheurs ont constaté une augmentation de la vente de chatbots jailbreakés tels que WormGPT, FraudGPT, XXXGPT, WolfGPT et EvilGPT. Ces versions malveillantes de ChatGPT sont exemptes de limites, non censurées et dotées de fonctionnalités supplémentaires.

Une menace croissante pour la cybersécurité

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Le recours à l’IA par les hackers représente une menace croissante pour la cybersécurité. Les modèles de langage peuvent être exploités de manière malveillante, augmentant ainsi le nombre potentiel de cyberattaques.

Il est donc essentiel de renforcer les mesures de cybersécurité pour contrer ces nouvelles formes d’attaques basées sur l’IA. Les experts doivent rester vigilants face à ces évolutions constantes et travailler à l’élaboration de stratégies efficaces pour contrer les cybercriminels.

Attention, découvrez les sombres perspectives de la cybercriminalité et son exploitation redoutable de l’intelligence artificielle !

Les cybercriminels et l’exploitation de l’intelligence artificielle

Les cybercriminels utilisent de plus en plus l’intelligence artificielle (IA) pour mener leurs attaques de manière plus efficace et crédible. L’utilisation de l’IA générative, popularisée par le robot conversationnel ChatGPT, se répand dans le monde de la cybercriminalité. Les outils utilisés par les criminels, tels que le phishing, les rançongiciels, les escroqueries et les arnaques au président, bénéficient d’une mise à jour grâce à l’utilisation de l’IA.

L’IA générative au service des cybercriminels

Selon Jean-Jacques Latour, directeur de l’expertise en cybersécurité de Cybermalveillance.gouv.fr, l’IA se démocratise chez les cybercriminels, ce qui les rend plus efficaces et crédibles. Les méthodes utilisées par ces criminels restent les mêmes, mais le volume des attaques et leur pouvoir de persuasion augmentent considérablement.

Les e-mails de phishing deviennent de plus en plus sophistiqués, évitant les erreurs grossières de syntaxe ou d’orthographe. Les escrocs s’adaptent au langage de leurs cibles et utilisent des contextes appropriés pour les convaincre de cliquer sur des liens ou des sites douteux.

L’IA générative pour créer des logiciels malveillants personnalisés

L’IA générative peut être détournée pour créer des logiciels malveillants personnalisés, exploitant des vulnérabilités connues de programmes informatiques. Des programmes tels que ThreatGPT, WormGPT et FraudGPT se développent sur le Darknet et gagnent en popularité auprès des acteurs malveillants.

De plus, l’IA est utilisée par les hackers pour trier et exploiter une masse de données après avoir infiltré un système informatique. Cela leur permet de maximiser leurs profits en ciblant les informations les plus pertinentes.

L’utilisation de l’IA dans l’arnaque au président et les rançongiciels

L’IA est également utilisée dans le cadre de l’arnaque au président, où les hackers collectent des informations sur les dirigeants d’entreprises pour autoriser des virements frauduleux. Grâce aux générateurs d’audio « deepfake », ils peuvent imiter parfaitement la voix des dirigeants pour donner des ordres de virement.

Les entreprises et les hôpitaux sont également confrontés aux rançongiciels qui utilisent déjà l’IA pour modifier leur code et échapper à la détection des outils de sécurité. De plus, la technique du vishing, où un faux banquier demande un transfert d’argent, pourrait également être améliorée grâce à l’IA.

Les conséquences de l’exploitation de l’IA par les cybercriminels

La police britannique a déjà signalé des cas où des contenus synthétiques générés par l’IA ont été utilisés pour tromper, harceler ou extorquer des victimes. Bien que les premiers cas en France n’aient pas été officiellement recensés, des doutes subsistent quant à l’utilisation de l’IA par les criminels.

Face à ces nouvelles menaces, il est primordial d’appliquer la règle du « zero trust », c’est-à-dire de ne faire confiance à aucun élément a priori en matière de cybersécurité et d’IA. Les hackers les plus actifs sont généralement des réseaux bien organisés d’Europe de l’Est, mais il ne faut pas négliger les pirates étatiques de pays en marge.

Conclusion

En conclusion, la cybercriminalité exploitant l’IA représente une menace croissante. Les cybercriminels utilisent de plus en plus l’IA pour améliorer leurs techniques et mener des attaques plus crédibles. Il est essentiel de rester vigilant et de mettre en place des mesures de protection appropriées pour contrer ces menaces.

Le point de vue du FBI sur l’impact explosif de l’IA open source sur le hacking ! Découvrez les secrets inquiétants révélés.

L’impact de l’IA open source sur le hacking : le point de vue du FBI

Les hackers exploitent de plus en plus les modèles d’IA open source pour améliorer leurs outils et piéger les internautes, selon le FBI.

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Sur l’IA open source en France, Meta s’allie à Hugging Face et Scaleway

Utilisation de l’IA par les cybercriminels

Les cybercriminels utilisent des chatbots basés sur des modèles de langage pour faciliter leurs activités malveillantes. Ils parviennent à contourner les mesures de sécurité grâce à leur expertise dans le domaine.

Le FBI a remarqué que les modèles d’IA les plus populaires auprès des internautes ne sont pas les préférés des hackers.

Les modèles open source, un outil privilégié par les hackers

Les hackers préfèrent utiliser des modèles d’IA open source gratuits et personnalisables plutôt que ceux contrôlés par des entreprises. Ces modèles sont plus légers et demandent moins de puissance de calcul, ce qui facilite leur utilisation localement.

Sur le dark web, il existe de nombreux chatbots conçus par des hackers pour générer du contenu illégal. Certains sont même capables de générer des logiciels falsifiant des cartes de crédit.

Les différentes utilisations de l’IA par les cybercriminels

Les pirates utilisent l’IA pour concevoir des pages de phishing, créer des virus polymorphes et générer des contenus falsifiés tels que des images et des vidéos. Ils utilisent également une IA de clonage vocal pour manipuler leurs victimes au téléphone.

L’avenir de l’IA et du hacking

Le FBI prévoit une augmentation de l’utilisation criminelle de l’IA à mesure que cette technologie se démocratise. Il est donc essentiel de développer des stratégies de prévention et de protection pour contrer l’utilisation malveillante de l’IA.

Source: PCMag